Remote Desktop

Remote Desktop est un service qui est préinstallé sur Windows 8 et 10. Il permet normalement de vous connecter à un PC vous appartenant et connecté au même réseau que vous. Il existe aussi des versions pour Linux, Mac OS, sur iOS et Android. De ce fait, la version mobile de Remote Desktop vous permet de connecter votre smartphone à votre PC. Vous pourrez ainsi effectuer certaines actions telles que la consultation des fichiers multimédias présents sur le stockage du PC.

Chrome Remote Desktop

Si vous souhaitez accéder à un PC qui n’est pas sur votre réseau, il existe d’autres applications qu’il est possible d’utiliser. Chrome Remote Desktop est l’une des solutions les plus simples. Il vous suffit d’avoir un navigateur Chrome et de télécharger le Chrome Remote Desktop. Ce dernier devra être configuré et être en cours d’exécution sur le PC sur lequel vous souhaitez vous connecter. Il vous suffit ensuite d’utiliser la version mobile de Chrome Remote Desktop sur votre smartphone pour avoir accès au PC.

Les limites de ces applications

À part ces deux applications, il en existe d’autres avec chacune leurs points forts et leurs points faibles. Pour les PC utilisateur de Linux, il y a par exemple KDE Connect. Par ailleurs, les manipulations que vous pouvez effectuer seront limitées pour des raisons de sécurité. Ne vous attendez également pas à pouvoir utiliser les logiciels présents sur votre PC à partir de votre smartphone. Vous pouvez néanmoins exécuter des commandes à distance pour réaliser diverses tâches telles que démarrer un téléchargement par exemple. De plus, les situations qui peuvent vous pousser à utiliser ce type d’application sont assez limitées. Néanmoins, il peut vous être utile de savoir que de telles applications existent.

Définitions de ces deux types d’attaques informatiques

Une cyberattaque est un ensemble coordonné d’actions qui visent à endommager et à porter atteinte à la confidentialité des données et des informations des systèmes qui les traitent. Elle est souvent commise dans le but d’attirer les attentions ou pour manifester en signe de revendication. Les cyberattaques les plus connues sont perpétrées à l’encontre de sites officiels d’organismes gouvernementaux, ou d’entreprises de grande envergure. Menée sous forme de défacement ou par déni de service par des « hacktivistes », ce type d’attaque malfaisant engendre toujours des pertes considérables comme les pertes financières. Il peut même porter atteinte à l’image de ses victimes. Le piratage informatique désigne quant à lui, une intrusion abusive dans le système informatique d’un particulier. Les objectifs des pirates ou des hackers peuvent varier dans ce cas. Modifications de contenus ou encore, vols de données, telles pourraient être les conséquences d’un acte de piratage. Les cibles des pirates sont les plus souvent les comptes ou les messageries de particuliers pour accéder à des données confidentielles.

Comment préserver ses données des attaques externes ?

Bien que les différents sites et applications qu’on utilise promettent la sécurisation de nos données personnelles, prendre un maximum de précautions reste la meilleure alternative pour éviter et réduire les attaques. En effet, même les plus sophistiquées des systèmes ne résistent pas face à des bandes de hackers professionnels. Ainsi, adopter trois actes régulièrement s’impose à savoir, s’informer, sécuriser et vérifier. S’informer pour éviter de communiquer hâtivement ses données sur différentes plateformes. Sécuriser grâce à l’installation des pare-feu et à l’utilisation de mot de passe fort pour ses comptes. Et enfin, vérifier, c’est-à-dire mettre à jour régulièrement ses données et veiller à ne pas ouvrir des courriels non identifiés pour éviter tout risque de piratage.

Gérer la circulation des informations

Pour protéger ses données privées, une entreprise doit définir avec ses collaborateurs en interne une limitation sur ce qui peut être diffusé publiquement. En effet, les employés d’une entreprise ont souvent tendance à partager des données sur internet. Il faut donc faire attention à ce que ces données partagées ne soient pas celles qui sont sensibles. Par ailleurs, il est toujours recommandé d’utiliser des réseaux VPN afin de sécuriser les données qui circulent de l’entreprise vers l’internet. Pour empêcher l’intrusion sur le réseau d’une entreprise, il faudra également faire attention à la portée de ce réseau. Il est possible d’accéder à certains réseaux WIFI en dehors des locaux d’une entreprise. Ces réseaux doivent de ce fait être sécurisés afin d’empêcher un individu, qui n’est pas un employé, d’y avoir accès. Dernier point important, il faudra toujours effectuer des sauvegardes. Cela vous prémunira des pertes de données suite à un piratage ou une dégradation du matériel informatique.

Régler les failles humaines

Il n’existe aucun réseau informatique infaillible. Les mises à jour fréquentes des systèmes de sécurité permettent uniquement de réduire le champ d’attaque des pirates informatiques. Cependant, une sécurité à jour n’est rien si la faille que représentent les employés n’est pas considérée. En effet, tromper un individu pour qu’il installe lui-même un logiciel espion est bien moins fastidieux que de scruter les failles d’un système de sécurité informatique. Chaque employé devra ainsi suivre une formation pour être plus responsable vis-à-vis des données informatiques. Cela leur permettra de mieux comprendre l’importance de changer fréquemment un mot de passe ainsi que l’importance de la complexité du password choisi.

Le confort

C’est un point essentiel à ne pas négliger pour une parfaite expérience virtuelle. Comme vous serez amené à porter ce casque sur une durée de 1 ou de 2 heures, optez pour un appareil qui assura une meilleure répartition du poids lors de son port. Le maintien de l’appareil devra également être vérifié pour vous assurer une meilleure immersion. Ce type d’appareil doit disposer d’une mousse intégrée pour un temps d’utilisation optimale. Un casque VR sans fil offrira par ailleurs plus de mobilité comparée à un appareil muni de câbles.

La compatibilité

Le choix de votre casque devra également se faire en fonction du support avec lequel vous allez l’associer. Il existe des modèles de casques compatibles avec les consoles, les PC ou encore les Smartphones. Notez toutefois que la performance de ces casques va différer en fonction du type de support utilisé. Pour un usage sur PC, le casque devra produire une excellente qualité d’image tout en restant cohérent avec la carte graphique de votre PC. Par ailleurs, si vous désirez utiliser votre casque autre part que sur votre PC, vous devrez vous assurer qu’il soit compatible avec d’autres appareils.

Les autres fonctionnalités

Pour les personnes ayant des problèmes de vue, il sera judicieux d’opter pour un casque disposant d’une option de correction optique. Lors de votre achat, vérifiez si l’appareil que vous aurez choisi dispose d’une option qui vous permettra d’effectuer un paramétrage optique. Sans cette option, il vous sera impossible de procéder à la correction de vision. Vérifiez également la réactivité du casque. Ce critère contribue à vous assurer une meilleure expérience virtuelle avec des affichages plus fluides et une précision au niveau de la détection de vos mouvements. Pour vous en assurer, n’hésitez pas à tester le casque en magasin.